Bonjour à tous,
le week end qui vient de passer fut riche en émotions. Nous avons beau être un brin malades avec Maîtresse, cela ne l'a pas empêché de jouer avec la neige (je vous raconterai peut être héhé), et hier soir.....j'ai eu droit à ma première séance de dressage, comme spécifié dans l'annexe au contrat.
Malgré la fatigue, je suis donc allé me préparer comme une bonne petite soubrette docile. J'ai enfilé mes bas blancs, mes talons aiguille, et ma robe de soubrette gentiment offerte par la tenancière de Metamorph'ose. Il ne manquait plus que mon collier de soumise, la laisse, les bracelets en cuir au poignets.....et me voilà parée!
Un instant j'observe mon corps dans la glace du couloir, je fais pute avec ma queue encagée qui couronne le tableau....et j'aime ça, oui vraiment j'aime de plus en plus cette tenue, et me sens déjà bien docile.
Tout à l'heure, j'ai relu l'annexe, pour pas me tromper. J'ai pas encore l'habitude, alors j’apprends. Ma Maîtresse a poussé la table devant le canapé, elle me demande dès mon arrivée de débarrasser la table sur laquelle je vais être sanglée. Je m’exécute sans un mot, puis je viens prendre ma place accroupie sur mes talons, en position n°11, les yeux baissés, laisse pendante, et les bras prêts à donner la patte comme une petite chienne.
Cette position est assez humiliante, très excitante, et ce depuis toujours pour moi. C'est une de mes préférées. Et plus que jamais je bande dans ma cage. Assise en face de moi, dans mon fauteuil de bureau, Maîtresse m'observe quelques instants. Comme c'est la première fois, Elle décide d'être magnanime, et que l'attente sera courte.
Soit, je me retrouve donc allongé sur la table. La barre d'écartement a été fixée entre mes chevilles, et mes bras sont immobilisés le long de mon corps à l'aide de chaînes. Je peux encore bouger si je voulais, mais je suis pas là pour ça. Je sais ce qui m'attend.....
Schlack! Le premier coup n'est pas trop fort...ça va je gère. "Un!". Je dois compter les coups, et je n'oublie pas. Maîtresse me l'a rappelé, juste au cas où. Schlack! Le second porté juste au même endroit est déjà bien plus dur à supporter.....je parle même pas du troisième!
Petite pause à cinq. Après le second, je n'a i pas cessé de souffrir. Maîtresse prend un malin plaisir à frapper au même endroit, pour que la douleur redouble, j'avais oublié de vous dire...avec la satanée badine en fibre de carbone recouverte de latex, pardi.
Et ça repart....outch que c'est dur...
Ma queue encagée forcément tirée contre mon entrejambes se manifeste par quelques pulsations, qui me donnent un brin de plaisir.
A sept, un coup plus fort que les autres manque quasiment de me faire perdre le compte. Ma voix chevrote un peu, je grimace, ça fait mal, y a pas de plaisir. Et dire qu'un jour j'irai jusqu'à cinquante, mais je préfère pas y penser.
Pour le moment, je serre les dents. Le 11ème me fait tressauter. Ouaïlle aïe aïe....le châtiment s'arrête un instant. Je sens déjà les stries qui barrent mes fesses. Ces zébrures qui dans ma fantasmatique, m'excitent au plus haut point.
Nouvelle pause...je souffle un peu, et vlan! Les derniers s’abattent quand je m'y attend le moins. Le quatorzième est très douloureux, tellement que je redoute le dernier qui se fait attendre cruellement. Ouf, Maîtresse a pitié et frappe un peu moins fort finalement.
Le souffle court, je ne bouge pas, et attend qu'Elle me détache pour la fin du rituel, mais pour l'instant, Maîtresse préfère immortaliser l'instant par quelques photos.
La barre toujours entre les jambes, je finis à quatre pattes à ses pieds. Prosterné devant Maitresse, je lui baise les pieds en la remerciant pour m'avoir dressé comme une bonne petite chienne que je suis. Je lui appartiens, et telle est ma place. En cet instant, je me sens très docile, excitée, femelle, et tout ce qu'on veut....prête à beaucoup de choses pour Elle. Je lui présente mon carnet, pour les fautes de la semaine. Il n'y en a que deux mineures, je finirai donc la soirée avec les chevilles entravées par la barre.
La séance de dressage prend fin devant la fin du film "Agora", que je regarde assis par terre devant le canapé, les poignets reliés à la barre. Maîtresse me tripote les seins de temps en temps et me maintient excitée.....Elle me dit qu'Elle a adoré cette séance....et je dois bien lui avouer qu'au final même si je suis pas maso physiquement, cela a accru grandement mon sentiment de soumission pour le coup, et que rien que pour ça, j'adore moi aussi.
Le résultat après séance:
La fin du film nous semble longue à venir, finalement la séance reprendra...mais ça, c'est une autre histoire!
Faya
le week end qui vient de passer fut riche en émotions. Nous avons beau être un brin malades avec Maîtresse, cela ne l'a pas empêché de jouer avec la neige (je vous raconterai peut être héhé), et hier soir.....j'ai eu droit à ma première séance de dressage, comme spécifié dans l'annexe au contrat.
Malgré la fatigue, je suis donc allé me préparer comme une bonne petite soubrette docile. J'ai enfilé mes bas blancs, mes talons aiguille, et ma robe de soubrette gentiment offerte par la tenancière de Metamorph'ose. Il ne manquait plus que mon collier de soumise, la laisse, les bracelets en cuir au poignets.....et me voilà parée!
Un instant j'observe mon corps dans la glace du couloir, je fais pute avec ma queue encagée qui couronne le tableau....et j'aime ça, oui vraiment j'aime de plus en plus cette tenue, et me sens déjà bien docile.
Tout à l'heure, j'ai relu l'annexe, pour pas me tromper. J'ai pas encore l'habitude, alors j’apprends. Ma Maîtresse a poussé la table devant le canapé, elle me demande dès mon arrivée de débarrasser la table sur laquelle je vais être sanglée. Je m’exécute sans un mot, puis je viens prendre ma place accroupie sur mes talons, en position n°11, les yeux baissés, laisse pendante, et les bras prêts à donner la patte comme une petite chienne.
Cette position est assez humiliante, très excitante, et ce depuis toujours pour moi. C'est une de mes préférées. Et plus que jamais je bande dans ma cage. Assise en face de moi, dans mon fauteuil de bureau, Maîtresse m'observe quelques instants. Comme c'est la première fois, Elle décide d'être magnanime, et que l'attente sera courte.
Soit, je me retrouve donc allongé sur la table. La barre d'écartement a été fixée entre mes chevilles, et mes bras sont immobilisés le long de mon corps à l'aide de chaînes. Je peux encore bouger si je voulais, mais je suis pas là pour ça. Je sais ce qui m'attend.....
Schlack! Le premier coup n'est pas trop fort...ça va je gère. "Un!". Je dois compter les coups, et je n'oublie pas. Maîtresse me l'a rappelé, juste au cas où. Schlack! Le second porté juste au même endroit est déjà bien plus dur à supporter.....je parle même pas du troisième!
Petite pause à cinq. Après le second, je n'a i pas cessé de souffrir. Maîtresse prend un malin plaisir à frapper au même endroit, pour que la douleur redouble, j'avais oublié de vous dire...avec la satanée badine en fibre de carbone recouverte de latex, pardi.
Et ça repart....outch que c'est dur...
Ma queue encagée forcément tirée contre mon entrejambes se manifeste par quelques pulsations, qui me donnent un brin de plaisir.
A sept, un coup plus fort que les autres manque quasiment de me faire perdre le compte. Ma voix chevrote un peu, je grimace, ça fait mal, y a pas de plaisir. Et dire qu'un jour j'irai jusqu'à cinquante, mais je préfère pas y penser.
Pour le moment, je serre les dents. Le 11ème me fait tressauter. Ouaïlle aïe aïe....le châtiment s'arrête un instant. Je sens déjà les stries qui barrent mes fesses. Ces zébrures qui dans ma fantasmatique, m'excitent au plus haut point.
Nouvelle pause...je souffle un peu, et vlan! Les derniers s’abattent quand je m'y attend le moins. Le quatorzième est très douloureux, tellement que je redoute le dernier qui se fait attendre cruellement. Ouf, Maîtresse a pitié et frappe un peu moins fort finalement.
Le souffle court, je ne bouge pas, et attend qu'Elle me détache pour la fin du rituel, mais pour l'instant, Maîtresse préfère immortaliser l'instant par quelques photos.
La barre toujours entre les jambes, je finis à quatre pattes à ses pieds. Prosterné devant Maitresse, je lui baise les pieds en la remerciant pour m'avoir dressé comme une bonne petite chienne que je suis. Je lui appartiens, et telle est ma place. En cet instant, je me sens très docile, excitée, femelle, et tout ce qu'on veut....prête à beaucoup de choses pour Elle. Je lui présente mon carnet, pour les fautes de la semaine. Il n'y en a que deux mineures, je finirai donc la soirée avec les chevilles entravées par la barre.
La séance de dressage prend fin devant la fin du film "Agora", que je regarde assis par terre devant le canapé, les poignets reliés à la barre. Maîtresse me tripote les seins de temps en temps et me maintient excitée.....Elle me dit qu'Elle a adoré cette séance....et je dois bien lui avouer qu'au final même si je suis pas maso physiquement, cela a accru grandement mon sentiment de soumission pour le coup, et que rien que pour ça, j'adore moi aussi.
Le résultat après séance:
La fin du film nous semble longue à venir, finalement la séance reprendra...mais ça, c'est une autre histoire!
Faya