"Tu as bonne mine ce matin, dis t'as pas aussi maigris?"
Ça faisait longtemps qu'on me l'avait pas dit ça tiens.....serait ce en corrélation directe avec le fait que j'ai repris le BDSM avec ma Maîtresse de compagne? J'aurais tendance à penser que oui!
Le petit est à l'école, y a bon. Rendez vous chez le coiffeur peu après, Maîtresse a été formelle et me veut avec les cheveux très courts. Ça tombe bien, c'est qu'y fait chaud ici sous les tropiques.
9h45, je sors de chez le coiffeur avec le sourire. Ma Maîtresse qui finit habituellement à midi le vendredi a pris sa matinée aujourd'hui. Miam miam, nous allons pouvoir en profiter.
A peine rentré, les ordres claquent:
"Vas t'habiller en petite chienne...mais comme tu veux. Une seule consigne, me faire plaisir. N'oublies pas tes bracelets de cheville, poignets, et ton collier en cuir."
Alors que je vais dans la chambre, Maîtresse me tend la clé de ma cage. C'est vrai qu'elle avait dit jusqu'à vendredi, ça fait une semaine.
Mais depuis deux jours je me suis inscrit au château des Dames, et les dangers de la cage me turlupinent. La cage en h24 à long terme, visiblement ça rend impuissant, ça fait baisser la production de testostérone(très mauvais pour la santé à plusieurs niveaux), ça augmente le taux de cancer de la prostate, et ça fait disparaître la libido. Ça fait beaucoup quand même....
J'avais expérimenté ça en partie il y a quelque temps, heureusement lors de notre pause du BDSM, tout était rentré dans l'ordre rapidement avec un peu d'onanisme!
Tout ça pour dire que les fantasmes c'est bien, l’esthétique de cette jolie cage en acier aussi, ce sentiment d'être prisonnier dans l'extension de sa main n'en parlons pas....mais il y a un moment où faut savoir se montrer sages. J'ai beau adorer être sa petite chienne qui doit jouir du cul, nous ne voulons ni l'un ni l'autre que je perde ma fonction érectile, ma libido, ma bonne santé, même si il y a peu de pénétrations entre nous....
Dorénavant ce sera donc retour au ballstretcher en h24, et plug la nuit. La cage sera là pour de l'occasionnel ludique, ou pour punir.
Mais fin de la parenthèse à titre informatif, je reprend mon récit! Me voici donc dans la chambre où j'ai rangé la veille notre panoplie de vicieux. Lui faire plaisir.....elle m'aime féminisée un peu vulgaire.
Je prend donc une paire de bas tous neufs, mes talons aiguille à plateforme vertigineux pour commencer. Sur mes chevilles, les bracelets avec chaînette se referment, ne me permettant que des petits pas. Mon cul se repose ces jours ci, donc pas de plug....c'est un ordre.
Autour de ma taille, mon simili corset cache mon petit bidou. Je met par dessus une très large ceinture assortie. Autour de mon cou, mon large collier de cuir avec sa laisse métal, enfin.... les bracelets cuir rembourrés à mes poignets.
Je fais pute ainsi, toute de noir vêtue, et lorsque ma Maîtresse me voit apparaître, elle est tout sourire. Elle se sent petite à côté de moi dans ces conditions. Pas pour longtemps.
Après avoir déposé un chaste baiser sur mes lèvres, ordre m'est donné de m'agenouiller face à elle, qui trône sur le canapé.
Depuis que nous avons repris le BDSM, je n'ai pas encore eu de séance à proprement parlé tournée vers mon plaisir. Ce que j'aime le plus c'est la contrainte, les liens, être bien entravée. Bien ligotée, je deviens prête à tout....
Et ça Maîtresse le sait. Mes bracelets sont attachés mains dans le dos immédiatement, suivis de près par la pose d'un bandeau japonais sur mes yeux, celui que nous avait offert Docteur Phil.
Ma Dame relie alors mes chevilles à mes poignets, ce qui rend la position difficile à tenir.
"Gardes le dos droit salope...."
J'obtempère, sinon je sais que je vais en prendre pour mon grade.
"Ouvres la bouche."
Mon bâillon gode vient obturer ma bouche. Bien serré, aucune chance de m'en débarrasser. Me voilà réduit à geindre. Un bas s'enroule alors sur ma tête. Plus aucun espoir de voir quoi que ce soit non plus....mmmmm c'est si bon quand elle me pince les tétons!
"Tu te sens assez contrainte comme ça? Fais oui de la tête, ou non."
Je suis une vraie gourgandine dans cette situation, bien sur je fais signe que non....
"Ha tu veux jouer? Bien on va jouer..."
J'entend s'éloigner ma Domina un instant. Elle farfouille dans la chambre mais revient vite. La pose de deux pinces avec poids sur mes tétons me surprend. C'est qu'ils commencent déjà à être sensibles! Ça promet...car la séance risque fort de durer.
"Ça va pas trop dur?"
"Mal aux genoux surtout"
Sur le carrelage c'est un peu rude à la longue. Maîtresse est magnanime et me donne un coussin. Ouf...
Un moment cette dernière prend plaisir à mettre des petites claques sur ma queue dressée, puis sur les poids. M'entendre gémir l'excite au plus haut point, je le sais. Mes bras sont tirés en arrière, une ceinture enserre à présent mes coudes dans mon dos. Une corde fait le tour de mon ventre par dessus le corset, et s'enroule autour de ma taille et mes cuisses.
"Et voilà, une belle culotte de corde! Alors on se sent assez contrainte? Fais signe que oui ou non ma petite salope...."
Je ne vous fais pas un dessin de ma réponse. Nouvelle corde, cette fois ce sont mes épaules qui se retrouvent enserrées. La corde qui dépasse est alors tirée entre mes jambes. Je me doutais bien qu'on en viendrais là tôt ou tard. Maîtresse adore bondager ma queue et mes couilles. Très souvent j'y ai droit, ce qui n'est pas pour me déplaire il faut bien l'avouer.
Encore une ceinture autour de ma taille, et une autre corde qui vient s'attacher derrière mon bâillon. Maîtresse tire en arrière, ce qui fait pencher ma tête vers le plafond.
"Tiens toi droit j'ai dit....voilà...maintenant t'es bien exposée"
Une chose est sure et certaine, me voilà durement entravée, et j'adore ça. Ainsi exposée avec les tétons et ma queue ligotée qui pointent fièrement, je suis indécente. Maîtresse recommence à me pincer les seins. Les poids assez douloureux ont été enlevés, remplacés quelques instants par les pinces japonaises, que j'aime autant que je déteste, tant leurs morsure est cruelle. Rien ne vaut ses ongles et ses doigts experts, que j'aimerai lécher un instant, toujours agenouillée dans la même position. Je ne peux que me frotter un peu contre elle tel un petit chat....
L'heure d'une pause salvatrice est arrivée. Maîtresse détache mes bras de mes chevilles, la chaînette qui les relie, et me fait lever. Je la suis en aveugle, tiré par la main qui enserre mon vit....
"Par ici...là stop."
Je sais à peu près où je suis. Pile dans l'entrée, bien exposée au vent et à la jungle. Maîtresse m'attache les quatre membres aux montants de la porte je ne sais comment. Il ne fait pas trop chaud pour une fois, je m'y sens bien. Les jambes un peu flageolantes, j'ai quand même peur de me casser la pipe, perchée sur mes talons. Et si ces putains de proprio viennent encore?!
Heureusement je n'y resterai pas longtemps.
Ma Maîtresse a du en profiter pour fumer sa clope.
Finalement elle choisit de me ramener vers le canapé, toujours en aveugle, bâillonnée, mais avec bon nombre de liens et mes talons en moins.
"A genoux sur ton coussin."
Défaisant ceux qui restaient, je me demande ce qui m'attend. Les cordes....Maîtresse se souvient-elle encore de comment on fait un TK? Ce n'est pas une experte des cordes loin de là, mais pour ça j'aurai tendance à penser que oui.
Prenant son temps, elle hésite un peu par moment, mais l'étau se resserre inexorablement sur mon buste, pour mon plus grand bonheur.
Son œuvre achevée, elle me fait relever, et m'enserre à nouveau le sexe, probablement avec ce petit bandeau rouge qu'elle affectionne. Mes boules sont étirées de chaque côté, je bande comme un sourd!
"Allonges toi."
Pas toujours évident de s'allonger quand on bande dur, mais avec un sac de nœuds qui vous étire les valseuses et crée une belle protubérance, je vous garantis que c'est pas évident du tout, et même parfois un brin douloureux.
Je peine à trouver une position confortable.
"Ha c'est pas facile hein, je ne veux pas le savoir....allonge toi bien droit."
Toute façon je suis bâillonnée, et rien ne sert de lutter. J'espère que ça ira mieux tout à l'heure. Maîtresse m'attache alors coup sur coup les genoux avec une ceinture, puis les chevilles entre elles avec d'autres bracelets.
Un autre lien fixé au canapé qui m'empêche de relever les jambes vers les fesses. Je ne suis pas devin, mais je sais très bien pourquoi. Elle me veut bien exposée pour s'en donner à cœur joie sur mon joli petit cul rebondit.
Ma Dame est sadique, elle va se faire plaisir. Dommage pour moi je ne suis pas un vrai maso. La douleur pure me déplaît....cependant accompagnée d'une vraie progressivité, et de plaisir associé, je la supporte très bien, allant parfois jusqu'à plonger dans des subspaces abyssaux.
Plaf! Le premier coup sabbat avec force. Qu'a t elle choisit? Le fouet dragon d'Harmony? Ou bien un martinet? Merde alors j'ai oublié les sensations....Plaf!
Les coups pleuvent en cadence et restent modérés. Les liens autour de mes couilles me font un peu mal, mais j'arrête rapidement de focaliser là dessus. Plaf! Mon cul doit commencer à rougir.
PLAF! PLAF! PLAF! Ça y est les choses sérieuses commencent. Les lanières frappent beaucoup plus durement mon arrière train. La mise en condition m'aide bien à supporter ce douloureux changement.
Allongé ainsi je n'en finis plus de baver dans mon bâillon, et commence à geindre à chaque frappe. La sensation de chaleur après chaque coup n'occupe pas encore la totalité de mes pensées qui vagabondent et parasitent encore un peu le moment présent. PLAF! Ah qu'est ce que j'aimerai pouvoir le mettre en pause sur commande et m'abandonner quand je veux! Qui a dit heureux les imbéciles?
Ma queue recommence à gonfler dans ses liens, je me sens chienne ainsi, très excitée. Un martinet en remplace un autre. PLAF! Je gémis en cadence, me tortille un peu dans mes liens. Pas de souci de ce côté là, le sang circule bien, tant mieux. Mes fesses doivent être bien colorées, au même titre que le haut de mes cuisses, où j'adore être cinglée.
Un moment, je tend mes fesses vers les coups.
"Regardez moi cette salope qui me tend son cul."
Je savais qu'elle y serait sensible. PLAF! La douleur est graduelle, et finit par occuper mon cerveau, qui se focalise sur les sensations. Enfin, je m'envole vers d'autres cieux. Le cocktail d'hormones qui circule dans mon sang me monte au cerveau, je me sens lourd, au ralentit.
Mes cris se font plus doux, et finissent par cesser. Alors que ma Maîtresse passe au paddle, je suis vaincue...
Je ne sais combien de temps ça a duré, mais finalement, ma Dame finit par reculer pour mieux sauter! La badine, une fine, s'abat sur mes fesses. Elle m'avait demandé d'en couper plusieurs dans la jungle il y a quelques jours. Je lui en avais donc ramené cinq exemplaires de taille et qualité différentes.
Mon cul doit être rouge pétard, et commence à être bien irrité après cette longue fessée.
Je comprend alors que le plus dur reste à venir. Fort heureusement ce sont des petits coups pour l'instant...pas très agréables, mais ma Maîtresse choisit la badine la plus grosse pour le gros du travail.
A mon grand regret, Maîtresse oublie le haut de mes cuisses, et s'acharne parfois à frapper au même endroit sur une cadence que je juge un poil trop rapide. J'ai du mal à récupérer entre chaque coup, la chaleur n'a pas le temps de monter comme j'aime, d'autant qu'elle prend un malin plaisir à frapper souvent plusieurs fois de suite au même endroit.
Ceci dit je suis pas surpris, elle est sadique comme d'habitude. Et bon comme dirait l'autre, il faut bien souffrir pour être belle hein.
Après un nombre de coup qui me semblent infini, repartit un peu dans les limbes où j'ai subit, résignée sur mon sort depuis un bon moment, je l'entend dire:
"300!"
Que ça? Elle n'a pas du commencer à compter dès le début. Ça me rappelle nos plus belles séances, où j'ai pris jusqu'à plus de mille coups de canne sur les fesses.
"Pfff désespérant, tu es à peine marquée."
Il y a des choses qui ne changent pas, à mon grand regret, moi qui adore la vision d'un postérieur bien zébré. Pour offrir des marques à ma Maîtresse, nous le savons tous les deux, il n'y a que le fouet qui marche.
"Tu as le choix maintenant....soit tu lèves le pouce, et je m'arrête, soit tu lèves le pouce et je t'en met 200 de plus."
C'est quoi cette arnaque? J'adore quand elle est aussi vicieuse que ça, mais là je sais pas quoi répondre, un peu dans les vapes. Alors j’attends qu'elle répète la question.
"Pas de réponse, je prend ça pour un oui continuez."
J'en étais sure, mais me réjouis intérieurement. Je bande comme un fou et je profite bien du moment même si je suis pas partit très loin.
Cette fois Margot compte à voix haute, et les coups défilent vite....
Une chaleur sourde se dégage du milieu de mes fesses. A coup sur je le sentirais quand il faudra s’asseoir....les coups sont très marqués, je gémis régulièrement. Ma chérie doit être très excitée.
"200!"
Va t elle s’arrêter? Que nenni, les coups reprennent presque immédiatement....cette fois Maîtresse me colle des séries de plus en plus rapides. Je suis à la limite au niveau douleur, mais c'est aussi à ce niveau là que j'ai envie de jouir, le plaisir à son paroxysme. Je ne gémis plus, je hulule dans mon bâillon en continu. Merci Maîtresse.
"Si tu veux que je m'arrête lèves le pouce, sinon je continue...je compte jusqu'à 10. 1...2...3....4...5...6...7...8...9..dernière chance...10...gourmande...."
Je redoute mon choix, mais bon, c'est maintenant que j'apprécie le plus le moment, flirtant avec ma limite. Les cinglées de badine reprennent avec force et rapidité. Maîtresse est impitoyable. C'est un véritable récital en Dom majeur qui s’abat sur mon cul!
OMG, c'est si bon et si dur à la fois. Ça me monte à la tête, j'ai un peu mal....je suis incapable de bouger, tout mon corps n'est plus que sensations, attendant le prochain coup qui résonne.
Enfin....ma Maîtresse finit par calmer ses ardeurs. Se faufilant vers moi, elle me chuchote à l'oreille:
"Salope, j'ai envie de te défoncer, te prendre comme une chienne à quatre pattes. Je t'attacherai comme ça sans pouvoir bouger toute une journée, et je te prendrai avec plein d'objets différents..."
Sa voix suave m'excite, j'imagine la perspective de son récit...
"..je vais t'élargir, bien te remplir souvent, comme ça tu seras prête pour recevoir des vraies queues. Je veux que tu aimes ça et que tu en redemandes, que tu sois ma pute que je prêterai. Tu seras humiliée et avilie."
"Oui Maîtresse."
Je suis très excitée d'entendre ça. Au début de nôtre relation je n'avais pas ce fantasme, et je n'aimais pas la sodo, juste le plug. Ça a été long mais j'ai finit par accepter puis aimer le gode ceinture. Maîtresse avait semé la graine de ce fantasme en moi, qui a finit par pousser, grandir, et maintenant je rêve d'être prêté à un Maître, ou dominé devant et par ses copines. J'imagine que ça viendra....
"Tu es trop gourmande, allez on arrête."
Elle a raison, je ne vais pas protester. Mon cul est en fusion et j'aime trop ça. Maîtresse prend soin de me détacher en partie...bas sur la tête et bâillon en moins
"Je suis très excitée, maintenant tu vas me donner du plaisir."
"Maîtresse, j'aimerai le faire en restant entravé, par exemple avec le gros bâillon gode."
L'idée semble lui plaire, elle s'empresse d'aller le chercher. Ça me rassure, car là je suis encore dans ma bulle. Nous ne l'avons jamais fait dans une position de face sitting il me semble....en avant guingamp!
Maîtresse me fixe le bâillon gode autour de la tête, et gonfle bien la partie qui va dans ma bouche. Je n'ai plus grand chose à faire à part la laisser s'empaler sur moi. J'aimerai bien qu'elle m'excite un peu les seins ou la queue, mais elle semble trop absorbée par son propre plaisir à s'empaler sur moi.
En cet instant j'éprouve l'impression bizarre d'être seulement un objet.
Très excitée par la séance, son plaisir monte vite. Je la sens qui coule autour de ma bouche et mon nez. Les effluves de son minou viennent me chatouiller à chaque va et vient.
Je fais quelques va et vient pour bien faire...mais elle reprend direct les choses en main, et s'empale de plus en plus vite en gémissant.
De mon côté j'ai un peu de mal à respirer, et ne me concentre plus que là dessus. Bientôt ma Maîtresse rugit son plaisir sur moi. On dirait qu'elle fait un rodéo sur ma tête. Pfiouuuu, je suis son sextoy et rien d'autre en cet instant.
Enfin, elle se crispe quelques instants autour de ma tête, puis relâche son étreinte, et bascule sur le côté. Je sens sa chatte à plein nez, et je suis tout à fait frustré, bandant comme un porc.
Reprenant nos respirations...ma Maîtresse m'enlève le bâillon gode, puis les cordes.
"Je suis toute flagada."
Tu m'étonnes...ma Dame me libère de mon TK, qui ça tombe bien, commençait à devenir douloureux sur mes triceps, mon point faible.
Je reste un moment contre elle, allongé sur le canapé, vidée de mon énergie. Ça fait du bien un peu de douceur aussi. J'ai toujours mon bandeau et les chevilles attachées.
Maîtresse me pince à nouveau les seins, et me caresse tendrement. J'ai envie de lui demander quelque chose, alors je descend du canapé, et me prosterne devant elle:
"Maîtresse, puis-je avoir mes bracelets avec les mains dans le dos s'il vous plait? C'est trop bon...."
Chez moi c'est un détail cérébral qui compte sacrément. Ma Domina accepte ma requête, et me dit de regagner le canapé.
Pendant un long moment, elle me caresse, me pince les seins, les malaxe, les triture....un nouveau lien vient enserrer ma queue, dont elle garde un bout en main, et sur lequel elle tire de temps à autre.
De mon côté je me sens bien, ces entraves légères mélangées à ces douces caresses auxquelles je ne peux me soustraire sont parmi mes kinks préférés. Parfois il en faut peu.
Maîtresse prend l'initiative de replier mes jambes. Accrochant un lien à mes chevilles, elle le relie à mon sexe étroitement. Je me retrouve obligé de tirer en permanence sur ma queue...mmmm...c’est si bon.....
La voilà qui reprend ses caresses sur mes tétons. Elle me rend dingue! Je suis au comble de l'excitation. En cet instant je ferai n’importe quoi.....une vraie chienne en chaleur.
J'ouvre la bouche et tire la langue pour lui montrer.
"Ouvres la bouche."
J'aime sucer un sexe factice dans ces conditions. Quand je fantasme sur le fait de sucer un mec, c'est d'ailleurs dans ces conditions. Bien entravée, les tétons pincés, aveuglée....
Le bâillon gode encore plein de cyprine m'emplit la bouche. Maîtresse continue ses caresses....
J'avoue..petite confidence, de recracher le gode quelques fois pour voir les réactions de ma Maîtresse, qui ne se démonte pas, et me le remet en bouche trois fois.
Lorsque ses caresses stoppent, elle me l'enlève, et je récupère un petit moment en me tortillant sur le canapé. Maîtresse se restaure et condescend à me donner quelques bouts de gâteau. Pas loin de trois heures qu'on est là, et je commence à avoir sacrément la dalle.
Reprenant un peu ses caresses sur ma poitrine, je lui propose pour son propre plaisir sadique la pose des pinces japonaises. Suis un peu maso...je sais que je vais aimer autant que je vais déguster.
Maîtresse n'aime pas toujours que je lui fasse des demandes....mais celle ci lui plait, je m'en doutais.
Je gémis immédiatement en continu. Mes seins sont sensibles depuis tout à l'heure....je regrette presque déjà la pose.
"Il ne fallait pas réclamer...."
"Oui Maîtresse, c'est...pour votre plaisir...de m'entendre gémir....mais je suis pas un vrai ..maso, j'aime avec du ..plaisir en même temps...."
Un bruit de bagnole se fait entendre...les proprio? On habite en haut d'un morne, entendez par là une colline, sans vis à vis, donc il y a qu'eux qui pourraient....
Maîtresse est allée voir, ça vient des voisins d'en dessous, ouf. Me retirant les pinces, elle me caresse un moment, puis me les repose, en me mettant la chaînette qui les relie en bouche....
"Dois je... la garder...en bouche?"
"Oui..."
Je redoute la punition si je faiblis. La douleur est forte, je continue de gémir comme un fou. Maîtresse tire un peu sur ma queue par moment, quand ce n'est pas moi qui le fait avec mes chevilles.
"Gardes la tête sur le canapé."
Si je la garde dessus, ça tire sur les pinces. J'y arrive à peine...ouf...Maîtresse m'enlève les pinces d'un coup sec qui me fait gueuler...pour mieux me les refixer sur les couilles. Au bout de quelques secondes la douleur est intolérable, et je crie presque.
Margot me les enlève rapidement:
"Dommage, j'aime encore plus quand tu cries...mmm j'ai une idée, met toi à quatre pattes."
J'ai besoin d'aide pour y parvenir....Maîtresse me délie un instant les chevilles des couilles. Mes bras sont rattachés devant moi. J'attends....
Rattachant mes chevilles le plus serré possible à mes couilles, Maîtresse regarde et commente:
"Je te verrais bien comme ça quand je t'attacherai à quatre pattes pour t'enculer longuement vendredi prochain....."
"Heureusement le petit a école que jusqu'à seize heures et vous finissez à midi."
"On demandera à la maman du petit Sacha de prendre le minot jusqu'à dix neuf heures. Comme ça on aura six heures pour te bien te remplir au lieu de trois...."
J'aurai mieux fait de me taire....mais j'ai hâte d'y être.
"Maîtresse, s'il vous plait....j'ai faim et je n'ai pas pris de petit dej' ce matin..."
"Ok c'est bon, on arrête....contente? On a rattrapé le retard depuis qu'on a repris là, non?"
"Oui Maîtresse, merci."
Je vous aime Maîtresse.