Pas de nouvelles comme on dit, bonne nouvelles. Pendant un moment, entre mon déménagement, mes premiers pas de soumis à demeure, nos sorties bobo parigot, j'avais moins la tête à écrire, moins l'envie aussi peut être, parce que le virtuel a supplanté totalement le virtuel pendant un temps.
Mais j'ai finit par reprendre la plume, à la demande de ma Maitresse, après une soirée mémorable. Nous sommes le 22 Octobre.....
Hier restera gravé dans ma mémoire, autant l'immortaliser d'une pierre blanche selon ma Maitresse, qui m'a demandé expressément de venir vous conter tout ça....
La journée est plutôt sympa....nous avons retrouvé des amis, pour aller se faire un petit brunch bobo dans le marais. Malgré le petit gobelin toujours un peu envahissant, des moments de câlins assez intenses émaillent la journée. Mes tétons si souvent pincés peuvent en témoigner....bon faut dire que ça, ça me rend totalement dingue, peut être pire que pour une nana. A peine pincés, que l'envie irrépressible de m'agenouiller face à Maitresse me prend, offert, et mon bas ventre ne tarde pas à palpiter fortement.
Tout allait donc bien dans le meilleur des mondes, car aujourd'hui est un présent, mais patatras! Début de soirée, j'oublie un peu mes obligations de soumis domestique, et fait passer mes loisirs cinq minutes de trop avant la bouffe du minot.
Ma Maitresse me rate pas, et réagit du tac au tac, j'ai beau vouloir le faire quand même, c'est un peu tard, et ce soir en punition, pire!.... j'aurai pas de séance. Dur dur, je le prend mal.
Ces derniers temps, Maitresse D_Margot a beaucoup de travail, et nos séances se sont un poil espacées, mais elle prend toujours un malin plaisir à me frustrer, cage de chasteté comprise, du coup c'est pas toujours facile pour moi de contrôler ces pulsions de soumission, histoire de pas devenir souminateur en puissance, qui en demande toujours plus, et selon mes propres fantasmes et plaisirs....
Roumégant dans la cuisine, je fais la vaisselle pour me calmer dans mon coin, pendant que Maitresse est en mode maman avec le gamin. Elle finit cependant par venir me voir, nous nous expliquons calmement, et ma Maitresse comprend ma détresse, d'autant qu'Elle avait elle aussi envie de s'amuser ce soir. Comme quoi, ne pas punir sous l'impulsion......
Dès le petit couché, je dois aller passer ma tenue de soumis, comme presque chaque soir à présent, vers 21 heures. Ou plutôt de soumisE? Tiens voilà une chose dont je me disais que je parlerai pas, ma féminisation, car même ici, voyez, la peur du jugement de l'autre est encore là. On les juge tellement souvent ces travestis, les traitant d'homos, alors que finalement ils ne font que se retrouver entre eux, entre personnes qui se comprennent, eux qui ne sont au final qu'amoureux de la féminité, qui lui vouent un véritable culte. Et puis bon, ce forum tournant essentiellement autour de couples Maitres/soumises, faut pas se leurrer....
Que vont en penser mes amis? Et certains Maitres très agressifs avec les soumis? Et les soumises qui pour beaucoup ne voient déjà pas un homme en un soumis?
Mais merde ici c'est ma seconde famille, j'y suis un vieux de la vieille, alors o-s-e-f, je vais prendre mon courage à deux mains, et je veux que ma Dame soit fière de moi.
Donc fantasme de féminisation, je l'ai depuis un bail, moi qui suis un mec sans conteste physiquement, découvrant même que dernièrement je plais aux nanas de plus en plus. Mais dans ma tête, c'est une autre histoire, je savais que j'avais un certain côté féminin, en fait je suis je le crois, totalement androgyne. Comme j'ai de la chance, je suis tombé sur une Maitresse qui aime me féminiser, et me trouve même encore plus sexy habillé comme sa "petite chienne" ainsi.
Bref, voilà que je commence à dérailler! Revenons donc à nos moutons, je suis dans la chambre, j'ai enfilé mes bas, porte jarretelle, corset, talons aiguilles, bracelets, collier. Sans oublier mon plug, Maitresse aimant me savoir bien prise, et la cage étant déjà bien à sa place...
J'ai encore du mal à me regarder dans la glace ainsi, et assumer ce nouveau moi ainsi, d'autant que ma transformation n'est pas terminée encore. Si l'épilation totale est bien au programme pour un de ces quatre, point encore de maquillage ou de perruque pour devenir une soumise crédible dans ma féminité. Toute façon, comme nombre de soumis et soumises, je sais jamais si j'assumerai un jour totalement mon image dans cette situation. Si je m'accepte, comme dans la vie, ce sera déjà pas mal, en espérant un jour me trouver belle ainsi parée.
Fin de l'aparté, me voilà à genoux, les mains sur la tête, le front contre le mur, au coin derrière la porte du salon. Première fois que je suis puni ainsi, moi qui avait plus l'habitude des coups de raquette de ping pong sur la derrière, bref, mais très douloureux. 10 minutes ainsi, moi qui supporte difficilement la station à genoux sur mes frêles guiboles de gonzesse, je sais que je vais déguster, et méditer sur mon sort. Tenu par les cheveux un instant avant que ne commence mon châtiment, je pense réellement.....
Maitresse s'est levée assez vite du canapé derrière mon dos, juste par malin plaisir pour me dire qu'il me restait encore 8 minutes, alors même qu'Elle a du me voir bouger les genoux, qui sont déjà douloureux. Dans mon dos, une chaine info égraine des faits divers, je me demande un instant quand est ce qu'on va rire pendant les infos. Pour l'instant ça va, mais c'est fou comme nôtre esprit gambade dans ce genre de situation.
Une poussière me fait mal dans le genou, j'essaye de changer de position...oh mamamia c'est pire. Mon buste s'écarte un instant du mur. La voix ferme de ma domina me rappelle à l'ordre, je dois rester collé contre ce fichu mur.
"5 Minutes mon soumis".....pfiou que ça....le corset bien serré commence à me faire un peu mal dans cette position, ce qui n'arrange rien, les talons me gênent, et mes genoux piquent de plus en plus.
J'essaye de me concentrer sur ma respiration. Ça marche pour beaucoup de choses ça, retarder une éjaculation, faire s'évader mon esprit, contrôler la douleur. Tout le monde sait ça non? C'est vieux comme les putes haha!
Et ça marche un temps, à tel point que lorsque la douleur trop forte redevient la plus présente dans mon esprit, il doit plus rester grand chose comme temps. J'avais vu juste, j’entends les pas de ma Maitresse. Elle est juste là, debout dans mon dos. Passant un doigt sous mon collier, Elle tire dessus....."Tu ne feras plus passer ton plaisir personnel avant ta vie de famille, compris?". docilement, je lui répond: "Oui Maitresse"
Enfin je peux me lever doucement, m'étire un peu, à la manière d'un chat, et je vais me faire à manger, un truc rapidos, car je sens que la soirée va être chaude. Maitresse n'a pas faim ce soir, je lui amène tout de même un peu de bonne charcuterie au salon, où Elle en profite pour bien mater mon joli petit cul bien mis en valeur, et me demande de marcher un peu plus à la mannequin, avec un pied posé devant l'autre.
Quelques minutes plus tard, me voilà assis sur mon coussin, à manger des raviolis frais sur la table basse, assis à ses pieds. Maitresse a choisit le film, ce sera "Haut les Mains", un petit film assez sympa sur une bande de gamins qui fugue pour protéger leur copine sans papier...
J'ai parfois du mal à me concentrer pour suivre, ma tête reposant entre les jambes de ma Maitresse. Faut dire qu'elle arrête pas de tirailler sur mes tétons depuis le début du long métrage. Et comme ma queue qui régit au quart de tour à ce genre de sollicitation est vite réprimée dans sa tentative de bandaison par la cb6000, je commence à haleter.
Cruel, j'adore cette caresse persistante sur mes seins, mais ma queue devient douloureuse. On finit même par mettre un moment sur pause, je gémis, je m'abandonne, finis par demander pitié....
Maitresse relance le film, je reprend mon souffle, débande dans ma prison, mais la voilà qui reprend son manège sur la fin du dvd, le répit a été de courte durée!
Le générique défile, l'ordre claque," Va me chercher les martinets, toutes les écharpes, la règle en bois, la spatule...". Ce soir pas de barre d'écartement ou de chaines..tiens tiens. Soit, j'y vais, et ramène dans le lot la cravache, n'ayant pas trouvé la spatule. Cela ne dérange pas ma Dame, le canapé est à présent déplié, et Elle me fait signe de monter, et me tend la clé de son collier, pour libérer popaul en pleine crise du logement. Soulagement.
J'ai pas encore appris de position de soumis, mais je sais que bientôt j'y aurais droit. En attendant, je me positionne à genoux, mains sur la tête. Elle me l'a pas demandé, mais je sais qu'Elle aime ça. Dans le fond, i-tune tourne, sur une radio de musique d'ambiance, zen, space, et participe au moment.
Un bandeau vient de se poser sur mes yeux. Je le resserre moi même à sa demande, pour qu'il ne me fasse pas mal. "Ouvre la bouche"...je m’exécute, et sans avoir eu trop le temps de quoi que ce soit, me retrouve avec une seconde écharpe, qui me bâillonne pour sa part assez fermement. Mon excitation est une fois de plus, déjà, à son comble.
Le mini mousqueton qui pend sur un D-ring d'un de mes bracelets est refermé sur son jumeau. Poignets liés dans le dos, ma Maitresse y adjoint une nouvelle écharpe, et les voilà ramenés assez haut, histoire qu'ils ne gênent pas les cinglées qui bientôt vont s'abattre sur mon postérieur. Encore une écharpe...mais cette fois autour de ma taille, juste pour le plaisir de l’enserrer un peu plus, par dessus le corset.
"Allonge toi". Tant bien que mal, j'obéis, ma queue est toujours aussi raide, la tour de Pise n'a qu'à bien de tenir. Maitresse me met un coussin sous le biceps gauche, puis un autre sous le droit. Mes bras vont pouvoir reposer plus longtemps dans cette position difficile sans que je sois trop ankylosé, pris de fourmillements ou de crampes...quelle riche idée.
Mes pieds sont rapprochés d'une main ferme, et eux aussi sont enserrés par une écharpe. Relèves tes genoux". Je fais comme je peux....nouvelle écharpe qui se glisse sous mes cuisses. j'ai envie de dire à ma Maitresse que placée à cet endroit , elle va glisser jusqu'à mes genoux, et n'être d'aucune utilité, mais mon bâillon m'empêche cette initiative. Effleurant plusieurs fois mon sexe, qui n'a pas jouit depuis au moins 3 semaines, et qui a été amené au bord de la jouissance des dizaines de fois, ma Maitresse manque de me faire jouir de peu. Mon sexe a coulé, mais surement du liquide pré séminal, qui survient juste avant éjaculation.
C'est pas encore maintenant que mon corps qui essaye inconsciemment, reprendra ses droits sur ma Maitresse. C'est là que "ta sexualité et ton corps m'appartiennent" prend tout son sens, c'est peu de l'dire!
M'enfin....la chronologie devient ensuite bien plus floue.
Me voilà donc bien ligoté. Maitresse sait à quel point je peux apprécier un bondage efficace. Plus je me sens entravé, prisonnier, plus je suis soumis, paré à partir dans le subspace.
Les premières cinglées ne se font pas attendre. Des séries de coup de règle en bois en guise d'apéritif. Surtout des séries de petits coup très rapides, des tapotements. Je sens pas grand chose, alors je prend mon mal en patience. Après tout, et je le sais mieux que quiconque, un bon subspace est souvent amené de manière très progressive.
Et je n'ai finalement pas à attendre bien longtemps pour sentir des premiers coups bien plus appuyés. J'aime. Maitresse le sait, et cette dernière frappe juste assez fort, là où le seuil entre plaisir et douleur est boarder line, pour me faire gémir, et ça c'est son plaisir à Elle.
Ce soir je me sens bien, et je tarde pas à me sentir déjà partir...
Maitresse décide de changer d'instrument, à mon grand regret. Elle prend le martinet, le petit, qui cingle pas trop fort, et me met de petits coups avec. Je redescend d'un étage, c'est moins agréable, et me parasite tout seul en pensant à des conneries totalement hors sujet.
C'est fou comme des petites contrariétés peuvent vous pourrir ces instants parfois, n'est ce pas? Surtout quand on sait que le cerveau est le premier organe sexuel chez l'homme. Bon pas autant que chez la femme d'accord, mais quand même!
Mais ce soir, à juste m'imaginer ma Maitresse derrière moi en train de cingler mon petit cul de salope offerte, à m'imaginer plus féminisée, à penser à notre futur contrat de soumission, à me concentrer sur le plaisir qui se dégage de chaque impact sur mon derrière, à me projeter sur ma séance d'épilation attaché à venir, je replonge assez vite dans un bien être béat.
Les cinglées de martinet sont devenues plus appuyées et se succèdent implacablement, claquant frénétiquement sur mes jumelles qui doivent commencer à arborer un teint des plus rosés. Je ne peux m'empêcher de faire venir mon cul à la rencontre des lanières, en le soulevant un peu.
Ça aussi, je le sais, Maitresse aime, signe évident que j'apprécie le traitement qu'Elle m'inflige.
Mais ce soir, le gros martinet, plus lourd, moins fin, a déjà pris la place du petit. Il s’abat, encore, encore et encore, dans une danse endiablée, et je suis de plus en plus incapable de relever mon cul, tant je suis en train de m'abandonner, submergé par ce cocktail explosif d'hormones qui coule dans mes veines. J'ai beau commencé à avoir mal aux bras, c'est si bon....
Quelques cinglées de cravache très appuyées viennent couronner le tout, je coule dans ma bulle...
Ma Maitresse reprend la règle, et ses tapotements rapides. Cette fois, je parviens difficilement, de ma petite voix soumise, repoussant un instant le bâillon avec ma langue... à lui glisser "plus fort", parce que merde quoi, ça me fait presque rien. Mais je m'entend répondre du tac ou tac" Non mon soumis, non."
L'attente dure..dure...je redescend un peu, mais soudain, ma Maitresse accélère la cadence. Plaf, plaf, plaf. J'ai à peine le temps de me remettre du coup précédent que le suivant frappe. Je gémis plus fort, Elle me chauffe le cul à blanc, il devient incandescent. La douleur est plus forte, le plaisir qui en découle aussi. Je sais plus trop bien ce qui domine des deux. "Fallait pas demander plus fort mon soumis".
Oui c'est vrai...non en fait...oh et puis merde je sais plus, et une fois encore je m'abandonne, et plonge encore plus, dans un subspace qui devient des plus profonds. Depuis combien de temps est elle en train de me faire subir cette correction, je serai incapable de le dire. Au moins une heure?
La cravache a pris le relais. Ça fait pas rire les mémés, mon cul en prend pour son grade, et on doit être loin du "rosé" de tout à l'heure, mais plus dans le rouge écarlate.
Un instant, je remonte à la surface, pousse le bâillon, pour dire à ma Maitresse que je souhaite qu'Elle me marque les fesses à la badine. Pour ça j'ai le droit de le dire, car la badine maison en bambou, c'est quelque chose, elle est fine, longue, très douloureuse, et ma Maitresse ne me l'applique que quand elle sent que c'est un bon moment pour ça.
Ce truc, tantôt je l'aime, par les décharges de sensation de douleur plaisir si fortes, si pures qu'il me procure, tantôt je le déteste, surtout quand son bout vient s'enrouler sur mon flanc, là où ça fait encore plus mal, quand la douleur l'emporte haut la main.
Maitresse n'a pas répondu à ma demande, et le fait qu'elle claque d'autant plus fort mon cul en feu me fait penser un instant que j'aurai mieux fait de la boucler. Aucun doute là dessus, depuis tout à l'heure, Elle cherche plus à me faire grogner, couiner, gronder....
Les coups cessent un instant, je reprend mon souffle, et l'entend farfouiller devant moi. Elle attrape, la badine, on l'avait laissé là au coin, et mon ouïe fine ne me trahit que rarement.
Une application nette, claire et sans bavure me donne raison. Belle entrée en matière, je suis surpris, dos un instant arc bouté sous le choc, mes entraves se rappelant à mon bon souvenir. Une série de tapotements, semblables à ceux de la règle, s'ensuivent. Je les supporte plutôt bien, ils m'échauffent sans faire mal.
Enfin, un nouveau coup s'abat... Sclaaak! Haa le bruit de la badine, et sa cuisson inimitable. J'espère un instant que ça fera un joli trait rose sur ma peau. Moi qui ait toujours voulu porter fièrement les marques de ma Maitresse, pour ça je suis pas gâté par la nature, mais alors pas du tout. Je marque pas, mais alors vraiment pas, bordel. 1 heure après une volée, il y a déjà presque plus rien sur mon cuir, et le lendemain d'une séance badine, il y a plus rien ou presque...bref, mon cul est déjà tellement rouge, que cette fois sera toujours pas la bonne pour arborer de belles zébrures.
Sclaak! Ma Maitresse semble avoir compris comment bien doser les coups de badine. Juste assez fort pour que ça reste intense et que je gémisse, mais pas assez pour que ça devienne insupportable. C'est qu'Elle prend de l'assurance ma Dame!
Sclaak! Sclaaak! Elle me laisse de moins en moins de répit entre les impacts. Je me sens bien, c'est intense, mais soudain tout cela cesse....
A mon grand regret momentané, c'est le grand martinet qui s'abat sur mon derrière. Une fois n'est pas coutume, je redescend un peu de palier, mais ma Maitresse me cingle tout de même sans faire semblant. Elle me demande si c'est bon, je lui fais signe que oui, elle me demande si je veux plus fort, j’acquiesce une fois encore.
Les cinglées se font alors des plus rudes. Maitresse y met toute sa force, avec le recul j'en suis convaincu, j'aime, et savoure l'intensité de chaque impact. mais pour le coup, cela devient difficile assez vite pour moi, plus encore que pour la badine, j'en suis surpris. On peut dire que j'en prend pour mon grade, mais Maitresse s’aperçoit que j'ai besoin de souffler à nouveau, et finit par s'arrêter. En cet instant je me dis que jamais je n'ai ressentit un tel brasier sur mes fesses!
La pause est salvatrice, mais l'appel de flagellation est toujours là. Plongé dans mon subspace, j'en veux plus, toujours plus, feed me more Mistress....et poussant mon bâillon bavant une ultime fois, je réclame la badine. Ma Maitresse n'est pas contente, je le sens bien dans ses paroles sur le moment, mais en lui expliquant...ou plutôt lui baragouinant comme je peux, que jamais je me suis sentit aussi bien pour lui offrir une vraie séance de badine, ma douleur, et de jolies marques, elle m'accorde finalement ce que j'ai demandé.
La danse infernale de la longue tige reprend. Jamais je n'en ai subit de telle. Les pauses sont courtes, je perd le contrôle, je suis submergé, plus capable de penser à autre chose, et ne suis plus que plaisir et douleur mêlées. Ma Maitresse dose la force comme il faut pour que la magie subsiste...par contre Elle s'en donne à cœur joie pour ne pas oublier la moindre parcelle de mes fesses, et je parle même pas du rythme, qui est devenu régulier, et rapide.
Enfin Maitresse finit par me donner une série de coups rapides, mais forts, sans pitié, et je hulule littéralement pour le coup dans mon bâillon...
Pfiouuuuu..dans mes veines, je sens plus que jamais ces hormones couleur. Mon sexe palpite toujours, maintenu pas bien loin de l'orgasme par tant de plaisir. Ce plug qui me dilate toujours, je le sens même plus, et dans ma tête, le sang cogne, et je me sens abruti, lent, dans mon monde, ailleurs, dans cette bulle.....
La séance va surement se terminer me dis je, et ma Maitresse va me laisser me remettre, d'autant que là mas bras commencent réellement à me faire souffrir.
Que nenni!
Pendant un moment, je me suis plus préoccupé d'Elle....en était capable à présent de toute façon? Et ma Domina me cueille par surprise avec de la cire sur les fesses! Celle là je l'avais pas vu venir.
Je connaissais déjà cette sensation, mais ensemble une seule fois auparavant nous avions essayé. Les bougies n'étaient pas adaptées, trop douloureuses, et nous n'avions pas tenté depuis. Une chose est sure, je suis à point.
Les gouttes sont pas trop chaudes cette fois, c'est une autre bougie c'est sur, et Maitresse prend un malin plaisir à me consteller le derrière par petites gouttes dans un premier temps. Elle prend son temps, elle se fait la main après tout.
Petite pause, et cette fois c'est carrément un long filet qui coule. Je suis surpris par ma propre réaction. J'aime...non..en vérité, en cet instant, jamais j'ai autant aimé ça. Ma bite doit être totalement turgescente!
Mais je suis encore une fois surpris par ce Maitresse me réservait, sentant un flot de cire couler sur mon postérieur. J'en suis certain cette fois, Elle doit utiliser plusieurs bougies pour se faire plaisir, d'autant que je l'entend jouer du briquet.
Mais mes bras me tourmentent de plus en plus, alors je proteste, Maitresse a compris.
Mais me tournant sur le côté, elle se frotte un peu contre ma queue par inadvertance, et une nouvelle fois, je suis sur le point d'exploser. Ma Maitresse s'en aperçoit dans mon agitation. Si jamais je jouis, je serais punit sévèrement, et la séance prendra fin aussi.....alors je me retiens. Cette fois, c'est mon sperme qui coule sur mon corset, mais je n'ai pas d'orgasme, je m'arrête pile au bord...pfiouuuuuuuuuu
Maitresse me demande si j'ai jouit, je lui répond la vérité par la négative. Mes biceps sont endoloris, je suis surpris par la lenteur avec laquelle je suis capable de les mettre au dessus de ma tête. Subspace quand tu nous tiens. Ma Maitresse les rattache ensemble sans tarder, au dessus de ma ête, et reprend son poste, Elle en a pas finit avec moi, et me le fait savoir en le murmurant à mon oreille.
Un cri rauque s'échappe de ma gorge, la garce en a profité pour vider toute la cire liquide qui s'était accumulée d'un seul coup, en l'étalant bien partout. la sensation est inédite, moi qui croyait tout à l'heure que mon cul avait jamais été autant un brasier, j'ai encore franchit un palier.
Et ma Tourmenteuse ne s'arrête pas là, vidant la seconde, puis la troisième bougie, toujours en une fois! Du moins c'est ce que je me dis..ma Maitresse vous confirmera, ou pas.
Ainsi, Elle continue un petit moment son manège. Protéger par sa croute de cire, mon cul irradie toujours de chaleur, mais sans l'intensité des premiers impacts.
Ma Maitresse me demande si j'en veux encore, je lui répond que oui, masochiste que je suis devenu, alors ma Dame m'enlève ma gangue protectrice, et recommence à faire couler la cire. Je gronde, ça l'excite surement beaucoup. Un instant je me dis que ma Maitresse, qui a été prise sur le coup de la lubie de la cire, va le regretter avec le carnage que ça doit être sur le canapé.
Enfin, Madame se glisse contre moi, me caresse, et me signifie que c'est finit. J'en peux plus, en cet instant je suis son esclave, sa petite salope, sa petite chienne, je ferais n'importe quoi pour Elle, prêt à supporter des trucs de folie. J'ai envie qu'Elle me pince les seins, je le baragouine, avec quelques autres trucs excitants, ma Maitresse enlève mon baillon....mais saisis contre toute attente mes tétons, et les broie littéralement, je rugis. J'aurais mieux fait de me taire. Une fois encore, ma jouissance est pas loin....je lui dis que j'ai envie de sucer son gode rose, me tortillant dans mes liens, allongé sur le côté, Elle me fourre finalement son pied dans la bouche, en continuant de les triturer.
Je suis pas spécialement fétichiste des pieds, mais quand Elle tire comme ça sur mes seins, j'aime vraiment lui lécher les pieds encore plus que d'habitude, où j'aime ça mais sans plus.
Séance terminée? Avec Maitresse nous nous excitons tellement mutuellement, qu'Elle me dit finalement avoir envie de faire couler la cire sur ma queue. Je lui répond que je suis d'accord, mais que ça me fait peur.
Maitresse ne se fait pas prier pour me mettre sur le dos. Je l'entend qui rallume les bougies. Cette fois le trouillomètre est là et bien là. Je ne peux m'empêcher de lui répéter que j'en ai envie, mais que j'ai peur. Elle me rassure d'une caresse dans les cheveux, et soudain, je sens la cire couler sur la hampe de mon sexe. Outch! Violent, plus que sur les fesses, mais pas autant que je le pensais. Dans mon état de junky du supsace, je le supporte. Mieux, une fois encore, même si je grogne, j'adore la sensation....
Ma Maitresse voit bien que j'apprécie, alors plutôt qu'y aller par gouttes, Elle y va par larges filets. Un filet entrainant un flot, Elle continue son œuvre. Faudrait pas oublier la moindre parcelle de peau hein, franchement ça serait dommage vous trouvez pas?
Une coulée en entrainant une autre...c'est bientôt mes couilles, puis mon ventre, qui en font les frais. La brulure se fait un instant plus intense en atteignant mes tétons.....je sais plus trop où j'habite, je respire fort, je grogne, gémis, j'aime, ça fait mal, ça chauffe, un peu, beaucoup , passionnément, à la folie.......
Ma Maitresse s'amuse ainsi un bon moment...moi, je suis partit à Pétaoucnok sur subspace depuis perpette.
Enfin, cette fois, c'est finit, bien finit. Ma Maitresse est joyeuse, Elle me laisse souffler un court moment. Je resterai bien comme ça sans bouger, comme cette fois où après deux heures de martinet, j'ai mis une heure à remonter de mon subspace....
Mais pas cette fois, il est une heure de mat, ça fait plus de deux heures qu'on y est, faut qu'elle aille dodo, demain c'est boulot.
Et sur le canap...c'est carnage total. Du moins j'imagine, car je suis toujours lié quand ma Maitresse décide de m'enlever les plaques de cire. Oh putain...ce soir je profiterai pas de mon état pour me reposer. Petit détail qu'on avait omis, mes poils. Si j'en ai peu sur la poitrine, où la cire est vite enlevée, sur le pubis, on peut dire que je suis vite ramené sur terre par la réalité. Je décuve en quelque sorte, et ce à vitesse grand v. Et bien vite même, je commence à me détacher pour enlever la cire moi même, tellement j'en chie. Aoutch.
Finalement avec ma Maitresse, on en rit plus qu'autre chose, même s'il faudra nettoyer un peu ma tenue de petite soumise sexy. Elle est partie au lit, et moi j'en ai été quitte pour une douche, et un bon coup de balais nocturne à poil. Quant au tissu du canap, je sais honnêtement pas si ça sera rattrapable, heureusement on en a d'autres interchangeables. Moralité, jeu de cire = support à mettre dessous sinon attention au carnage!
Mais c'est pas ce que je retiens de cette soirée. Ce que j'en retiens, c'est un moment magique avec ma Maitresse, que je remercie humblement ici. Hier, vous m'avez emmené très loin au pays des merveilles du BDSM. C'était juste divin! Et sinon ben, bravo à ceux qui ont réussit à aller jusqu'au bout d'un tel pavé, j'espère que ça vous a plu, j'ai quand même mis plus de trois heures pour l'écrire.
PS: Maitresse, je vous aime
Faya