Bonjour à tous, j'ai écrit cet article sur le Palais de la soumission, pour répondre à une fille qui se posait des questions. Je l'ai un peu retravaillé pour qu'il soit plus compréhensible sortit de son conteste de discussion, le voici:
Dans le BDSM, l'offre et la demande sur le net est très inégale en ce qui concerne les dominantes/soumis. Ce rapport aujourd'hui doit être de une pour dix, pour vingt, on sait pas exactement, mais il reste très déséquilibré. Quand j'ai débuté moi même, peut être comme de nombreux jeunes hommes, je savais pas m'y prendre, j'étais timide avec les filles à la base, avec une mauvaise image de moi, de mon physique en particulier, un peu trop contrôlé par les pulsions de ma libido débordante, et j'aurais été prêt à faire nimporte quoi pour qu'une Maitresse crée ce lien avec moi. J'ai d'ailleurs fait nawak et vécu une expérience malheureuse à cause de ça, qui m'a laissé un sacré gout amer, et une bonne leçon en prime. Parce que j'avais fait la connerie d'un choix bidon faute de mieux.......
Ça me rappelle aussi un connard de Maitre qui voulait me dominer (et moi pas), et tentait de me convaincre sur cette base: étant soumis je n'avais donc pas le choix d'une offre débordante sur le "marché", je devais donc me plier à lui. Inutile de dire qu'il a pris un tir de barrage, doublé d'un costard 3 pièces.
Tout ça pour dire quoi? Soumis ou soumise ne veut pas dire à nimporte qui, ni à nimporte quoi, encore moins tout accepter.
Ça me rappelle aussi un connard de Maitre qui voulait me dominer (et moi pas), et tentait de me convaincre sur cette base: étant soumis je n'avais donc pas le choix d'une offre débordante sur le "marché", je devais donc me plier à lui. Inutile de dire qu'il a pris un tir de barrage, doublé d'un costard 3 pièces.
Tout ça pour dire quoi? Soumis ou soumise ne veut pas dire à nimporte qui, ni à nimporte quoi, encore moins tout accepter.
Je le dis toujours, en particulier à ces mots de faim soumis.....respectez vous, respectez ce cadeau de soumission que vous faites. Celle qui va le recevoir doit savoir s'en montrer digne, et reconnaissante. Elle doit le mériter. Et si un Maitre vous dit d'entrée "ma soumise doit tout accepter sous peine de punition, et que seul mon plaisir compte, pas le sien"..........attention gros warning, voire fuyez. Une relation durable ne fonctionne pas ainsi, pour aller bien elle doit être équilibrée, dans une optique de partage.
Le problème quand on accepte tout, c'est qu'on attire nimporte qui. Et donc plus souvent les prédateurs , comme les manipulateurs sadiques, pervers, narcissiques, souvent mythomanes qui n'attendent qu'une proie facile comme telle pour s'en repaître. Et oui! C'est peut être plus répendu chez les Maitres, parce qu'ils osnt plus sujets que les femmes aux comportements mentaux déviants(c'est les chiffres j'invente rien), ceci dit ça existe aussi chez les Maitresses, croyez moi.
Un soumis n'a pas le droit d'être exigeant sur le choix de la personne de son Maitresse, il en a le devoir! Et oui.....
C'est là où j'aurai toujours du mal à comprendre les maso......
A la limite les maso physiques ce n'est qu'une affaire de cocktail chimique dans le cerveau qui est nôtre premier organe sexuel. On sait d'ailleurs depuis peu que la douleur/plaisir exactement active les mêmes parties. Quelques séances bien amenées par ma Maitresse(notamment la dernière à la badine) m'ont prouvé que je pouvais aller très très loin à ce niveau, plongé dans un subspace abyssal, après des centaines de coups de badine, les derniers assénés de toutes ses forces! Ce qui pourrait choquer fortement certains membres même du Palais s'ils voyaient la scène je pense...ou moi même en la revisionnant....pourtant il n'y a pas de quoi, c'est juste que la progressivité de la séance, ses détails, ma Maitresse, et mon laisser aller ont été parfaits, nous poussant tous deux au maximum(je marque très très peu et j'ai un vrai cuir à la place de la peau je vous rassure)
Par contre avec le masochisme cérébral là j'ai du mal, et du mal à comprendre. Dans certains cas, le soumis va rechercher la dégradation de son être, l'humiliation sans limite, la dépersonnalisation etc....ici pour moi on est dans une véritable quête personnelle d'auto destruction. Et donc par voie de fait dans un BDSM très dangereux, sur un sacré terrain glissant. J'ai coutume de dire que pour se lancer dans le BDSM et le pratiquer de manière saine et en toute sécurité, il faut avoir fait la paix avec soi même...or dans ces cas précis on en est pour moi à mille lieux, ces personnes n'ayant pas besoin d'un Maitre, mais d'un psy.
Alors où est la limite dans tout ça? Abordons donc quelques dangers ensemble: La dépendance pour commencer.... Dans chaque relation D/s, mais quelque part c'est aussi valable pour une relation vanille, il y a une certaine dépendance à l'autre. Evidemment le manque sera profond en cas de rupture dans une relation où le soumis a tout donné, tout abandonné à l'autre. C'est je crois le vrai danger de ce qu'on appelle le "freak control", où la vie du soumis est régentée dans ses moindres détails.
Le silence de la domina? Halalalalala ces dominas qui coupent volontairement les ponts dans une relation virtuelle avec leurs soumis sont plus que des garces. Certaines vont dire je lui apprend la patience, d'autres vont dire qu'elles le punissent ainsi pour une faute grave......moi franchement elles me font marrer, à pas savoir ce qu'elles font en agissant ainsi. Si on interroge les soumis(moi y compris), la majorité répondra que c'est la pire des punition possible. Le manque par l'ignorance de l'autre y est total, destructeur, et donc régressif pour la soumission. Où est l'intérêt de la leçon quand on punit l'autre en le rendant malheureux? C'est un jeu dangereux, point, et n'en déplaise à ceux que ça va offusquer car ils le pratiquent, je le répète, ils sont inconscients.....
Autre axe de réflexion, le D/s qui devrait être libératoire. Dans un abandon absolu à la personne dominante, justement c'est très libératoire de tout un tas de contraintes. Un soumis, voire un esclave, n'a pas ou plus de responsabilités, avec tous les soucis qui y sont liés. Son esprit est censé être dégagé des chaines liés à la vie en société. Il n'a plus à prendre de décisions, alors croyez moi pour avoir connu les deux facettes de cette pièce, il est vrai que ça peut être très reposant, et donc épanouissant, de se contenter d'obéir.
Enfin, je finirai pour l'instant en disant que pour moi la question d'abandon total à ma Maitresse est avant tout une question de confiance entre nous, de dialogue perpétuel, de remises en question suivies d'ajustements. Elle n'aurait jamais été possible si nous n'avions pas eu tous les deux la même vision d'un BDSM noble. Petite parenthèse: J'enjoins au passage tous ceux ou celles qui recherchent un collier de mettre cette préoccupation au centre des débats avec leur futur dom, car s'ils n'ont pas en partie les mêmes principes, fantasmes à ce niveau, ça ne fonctionnera pas. C'est d'autant plus valable quand on parle de vision globale de BDSM, et des attentes respectives. Fin de la parenthèse.
Au delà de ça, nous vivons avec D-Margot ensemble depuis 9 mois, et je considère que nous sommes encore des débutants, avec un tas de choses à améliorer. 9 mois c'est beaucoup...mais en même temps si peu. En 9 mois, nous avons beaucoup avancé au grès des embuches, des joies, des peines, des expériences diverses, des discussions parfois houleuses entre nous, ce qui a cimenté peu à peu une bonne confiance réciproque, une certaine complicité. Je ne sais jusqu'où nous irons, ce qui nous attend en cours et au fond du "camin" comme on dit chez moi.......mais ce qui est sur c'est que pour que je devienne un soumis avec une confiance absolue, capable d'un abandon total de plus en plus facilement, il faut laisser le temps au temps. Comme j'aime à dire "Ils ont la montre, et moi j'ai le temps".
Ce fameux don total, cet abandon absolu, je les ai souvent vu employés à tort et à travers, parfois dans des relations seulement virtuelles.......par des personnes qui n'avaient pas conscience de leurs œillères, de leur propre témérité. Alors que pour moi ces principes sont indissociables d'une symbiose, une harmonie de couple, qui fait d'ailleurs l'essence du D/s supérieurs au vanille. Ça va de petites attentions pour l'autre perpétuelles, à la compréhension de ses démons, son passé, son caractère, de son humeur avec juste un coup d'oeil, en bref à tout un tas de petits détails qui disent c'est ma seconde moitié car je lis en lui comme un livre ouvert.
Là voilà, on y est pour moi.....et l'abandon total à ma Maitresse devient un aboutissement logique.
Cependant je te dirais que je ne sais si un jour j'y arriverai. Ça vous surprend non? Pourquoi? Tout simplement je considère que même à 40 ans de vie D/s commune j'en aurai encore à apprendre, et que rien n'y sera encore parfait. C'est un peu le concept de Marx dévelopé par Trotski de révolution permanente, adapté à ma vie perso. Mais je crois on aura appris à vivre avec ce qui ne va pas chez l'autre...et puis c'est aussi pour ça qu'on l'aime non?
A côté de ça, devenir un esclave total de celle que j'aime, c'est excitant certes, mais non seulement je sais que c'est impossible avec les contraintes de la vie en société, mais aussi ce n'est pas raisonnable.
Se soumettre à l'autre, être dans le don, induit toujours qu'on est plus fragile sur nos émotions, plus sensible. Alors il faut savoir raison garder.
Oui, la raison me dit que je ne peux tout accepter dans une optique d'équilibre sain. Notre vision de couple D/s est fondée sur un épanouissement de l'autre. Si je m'oublie de trop, dans mes souhaits, dans mon moi, dans mes passes temps favoris.....ou si ma Maitresse abuse de son pouvoir, je vais faire la gueule à terme, mal le vivre, et soit ça va finir par exploser, soit je vais être moins soumis naturellement avec toutes les initiatives agréables en moins que je pourrai prendre pour elle. Me voyant moins soumis ma Maitresse se sentira moins domina, ou bien culpabilisera, perdra confiance en elle etc.....on en revient à la fameuse logique des cercles vicieux/vertueux, qui est à la base du désir.
Alors conclusion, l'abandon total, c'est une belle utopie certes, mais elle est quand même dangereuse je pense. C'est une chose qui demande donc beaucoup de temps(au minimum plusieurs années), un bon équilibre mental personnel au préalable(notamment une bonne image de soi pour le soum, et avoir fait la paix avec soi même pour les deux) et une connaissance de l'autre très profonde(en particulier pour le dom). Enfin, je pense qu'on ne peut que tendre vers l'absolu, car c'est une quête de toute une vie, et si on est un minimum sage, on saura trouver un certain équilibre avec d'autres choses vitales dans la vie(comme l'accomplissement de soi dans certains passe temps, ou pour "cultiver son jardin" disait Voltaire)
En espérant que la lecture vous aura été agréable....
Le problème quand on accepte tout, c'est qu'on attire nimporte qui. Et donc plus souvent les prédateurs , comme les manipulateurs sadiques, pervers, narcissiques, souvent mythomanes qui n'attendent qu'une proie facile comme telle pour s'en repaître. Et oui! C'est peut être plus répendu chez les Maitres, parce qu'ils osnt plus sujets que les femmes aux comportements mentaux déviants(c'est les chiffres j'invente rien), ceci dit ça existe aussi chez les Maitresses, croyez moi.
Un soumis n'a pas le droit d'être exigeant sur le choix de la personne de son Maitresse, il en a le devoir! Et oui.....
C'est là où j'aurai toujours du mal à comprendre les maso......
A la limite les maso physiques ce n'est qu'une affaire de cocktail chimique dans le cerveau qui est nôtre premier organe sexuel. On sait d'ailleurs depuis peu que la douleur/plaisir exactement active les mêmes parties. Quelques séances bien amenées par ma Maitresse(notamment la dernière à la badine) m'ont prouvé que je pouvais aller très très loin à ce niveau, plongé dans un subspace abyssal, après des centaines de coups de badine, les derniers assénés de toutes ses forces! Ce qui pourrait choquer fortement certains membres même du Palais s'ils voyaient la scène je pense...ou moi même en la revisionnant....pourtant il n'y a pas de quoi, c'est juste que la progressivité de la séance, ses détails, ma Maitresse, et mon laisser aller ont été parfaits, nous poussant tous deux au maximum(je marque très très peu et j'ai un vrai cuir à la place de la peau je vous rassure)
Par contre avec le masochisme cérébral là j'ai du mal, et du mal à comprendre. Dans certains cas, le soumis va rechercher la dégradation de son être, l'humiliation sans limite, la dépersonnalisation etc....ici pour moi on est dans une véritable quête personnelle d'auto destruction. Et donc par voie de fait dans un BDSM très dangereux, sur un sacré terrain glissant. J'ai coutume de dire que pour se lancer dans le BDSM et le pratiquer de manière saine et en toute sécurité, il faut avoir fait la paix avec soi même...or dans ces cas précis on en est pour moi à mille lieux, ces personnes n'ayant pas besoin d'un Maitre, mais d'un psy.
Alors où est la limite dans tout ça? Abordons donc quelques dangers ensemble: La dépendance pour commencer.... Dans chaque relation D/s, mais quelque part c'est aussi valable pour une relation vanille, il y a une certaine dépendance à l'autre. Evidemment le manque sera profond en cas de rupture dans une relation où le soumis a tout donné, tout abandonné à l'autre. C'est je crois le vrai danger de ce qu'on appelle le "freak control", où la vie du soumis est régentée dans ses moindres détails.
Le silence de la domina? Halalalalala ces dominas qui coupent volontairement les ponts dans une relation virtuelle avec leurs soumis sont plus que des garces. Certaines vont dire je lui apprend la patience, d'autres vont dire qu'elles le punissent ainsi pour une faute grave......moi franchement elles me font marrer, à pas savoir ce qu'elles font en agissant ainsi. Si on interroge les soumis(moi y compris), la majorité répondra que c'est la pire des punition possible. Le manque par l'ignorance de l'autre y est total, destructeur, et donc régressif pour la soumission. Où est l'intérêt de la leçon quand on punit l'autre en le rendant malheureux? C'est un jeu dangereux, point, et n'en déplaise à ceux que ça va offusquer car ils le pratiquent, je le répète, ils sont inconscients.....
Autre axe de réflexion, le D/s qui devrait être libératoire. Dans un abandon absolu à la personne dominante, justement c'est très libératoire de tout un tas de contraintes. Un soumis, voire un esclave, n'a pas ou plus de responsabilités, avec tous les soucis qui y sont liés. Son esprit est censé être dégagé des chaines liés à la vie en société. Il n'a plus à prendre de décisions, alors croyez moi pour avoir connu les deux facettes de cette pièce, il est vrai que ça peut être très reposant, et donc épanouissant, de se contenter d'obéir.
Enfin, je finirai pour l'instant en disant que pour moi la question d'abandon total à ma Maitresse est avant tout une question de confiance entre nous, de dialogue perpétuel, de remises en question suivies d'ajustements. Elle n'aurait jamais été possible si nous n'avions pas eu tous les deux la même vision d'un BDSM noble. Petite parenthèse: J'enjoins au passage tous ceux ou celles qui recherchent un collier de mettre cette préoccupation au centre des débats avec leur futur dom, car s'ils n'ont pas en partie les mêmes principes, fantasmes à ce niveau, ça ne fonctionnera pas. C'est d'autant plus valable quand on parle de vision globale de BDSM, et des attentes respectives. Fin de la parenthèse.
Au delà de ça, nous vivons avec D-Margot ensemble depuis 9 mois, et je considère que nous sommes encore des débutants, avec un tas de choses à améliorer. 9 mois c'est beaucoup...mais en même temps si peu. En 9 mois, nous avons beaucoup avancé au grès des embuches, des joies, des peines, des expériences diverses, des discussions parfois houleuses entre nous, ce qui a cimenté peu à peu une bonne confiance réciproque, une certaine complicité. Je ne sais jusqu'où nous irons, ce qui nous attend en cours et au fond du "camin" comme on dit chez moi.......mais ce qui est sur c'est que pour que je devienne un soumis avec une confiance absolue, capable d'un abandon total de plus en plus facilement, il faut laisser le temps au temps. Comme j'aime à dire "Ils ont la montre, et moi j'ai le temps".
Ce fameux don total, cet abandon absolu, je les ai souvent vu employés à tort et à travers, parfois dans des relations seulement virtuelles.......par des personnes qui n'avaient pas conscience de leurs œillères, de leur propre témérité. Alors que pour moi ces principes sont indissociables d'une symbiose, une harmonie de couple, qui fait d'ailleurs l'essence du D/s supérieurs au vanille. Ça va de petites attentions pour l'autre perpétuelles, à la compréhension de ses démons, son passé, son caractère, de son humeur avec juste un coup d'oeil, en bref à tout un tas de petits détails qui disent c'est ma seconde moitié car je lis en lui comme un livre ouvert.
Là voilà, on y est pour moi.....et l'abandon total à ma Maitresse devient un aboutissement logique.
Cependant je te dirais que je ne sais si un jour j'y arriverai. Ça vous surprend non? Pourquoi? Tout simplement je considère que même à 40 ans de vie D/s commune j'en aurai encore à apprendre, et que rien n'y sera encore parfait. C'est un peu le concept de Marx dévelopé par Trotski de révolution permanente, adapté à ma vie perso. Mais je crois on aura appris à vivre avec ce qui ne va pas chez l'autre...et puis c'est aussi pour ça qu'on l'aime non?
A côté de ça, devenir un esclave total de celle que j'aime, c'est excitant certes, mais non seulement je sais que c'est impossible avec les contraintes de la vie en société, mais aussi ce n'est pas raisonnable.
Se soumettre à l'autre, être dans le don, induit toujours qu'on est plus fragile sur nos émotions, plus sensible. Alors il faut savoir raison garder.
Oui, la raison me dit que je ne peux tout accepter dans une optique d'équilibre sain. Notre vision de couple D/s est fondée sur un épanouissement de l'autre. Si je m'oublie de trop, dans mes souhaits, dans mon moi, dans mes passes temps favoris.....ou si ma Maitresse abuse de son pouvoir, je vais faire la gueule à terme, mal le vivre, et soit ça va finir par exploser, soit je vais être moins soumis naturellement avec toutes les initiatives agréables en moins que je pourrai prendre pour elle. Me voyant moins soumis ma Maitresse se sentira moins domina, ou bien culpabilisera, perdra confiance en elle etc.....on en revient à la fameuse logique des cercles vicieux/vertueux, qui est à la base du désir.
Alors conclusion, l'abandon total, c'est une belle utopie certes, mais elle est quand même dangereuse je pense. C'est une chose qui demande donc beaucoup de temps(au minimum plusieurs années), un bon équilibre mental personnel au préalable(notamment une bonne image de soi pour le soum, et avoir fait la paix avec soi même pour les deux) et une connaissance de l'autre très profonde(en particulier pour le dom). Enfin, je pense qu'on ne peut que tendre vers l'absolu, car c'est une quête de toute une vie, et si on est un minimum sage, on saura trouver un certain équilibre avec d'autres choses vitales dans la vie(comme l'accomplissement de soi dans certains passe temps, ou pour "cultiver son jardin" disait Voltaire)
En espérant que la lecture vous aura été agréable....
Faya